Pâte à tartiner aux spéculoos… (Une tuerie !!)

Ainsi que vous le savez, j’ai réalisé il y a peu de temps un délicieux cheesecake… et me suis retrouvée avec une moitié de paquet de spéculoos à utiliser… C’était le moment d’essayer une recette qui me tentait terriblement depuis un bon moment…

Je suis donc allée chercher chez Garance THE recette qui m’a littéralement fait succomber…

Franchement, n’hésitez pas un seul instant, cette pâte à tartiner est délicieuse, a une texture parfaite… bref, c’est une tuerie, tout simplement !!

Et si je vous dis qu’en plus, elle ne contient même pas de beurre, ça vous la coupe, hein ? (bon, ok, il y a quand même un peu de matière grasse, mais bon, ça décomplexe quand même un peu !!!)

Délicieuse sur du pain frais, du pain de mie légèrement grillé, glissée entre deux coques de macaron... Elle se prête,  je pense, à toutes nos envies gourmandes… Je crois que je suis amoureuse !!

Pour un pot de pâte à tartiner:

-          150 g de spéculoos

-          60 g de sirop d’agave (ou de miel à défaut)

-          30 g de sucre

-          10 cl de lait

-          5 cl d’huile neutre

-          90 g de chocolat blanc

Faire torréfier les biscuits en les passant 20 minutes dans le four préchauffé à 160°C sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier cuisson.

Les réduire en fine poudre à l’aide d’un mixeur par brèves impulsions.

Verser dans un saladier et ajouter sur le dessus le chocolat blanc détaillé en petits morceaux.

Faire chauffer dans une casserole le lait, le sirop d’agave et le sucre, sans toutefois porter le mélange à ébullition.

En verser la moitié sur les biscuits et remuer énergiquement. Quand la pâte devient un peu plus épaisse, ajouter le reste du lait et mélanger.

Ajouter enfin l’huile et mélanger jusqu’à l’obtention d’une pâte bien lisse et homogène. La pâte, encore liquide quand elle est chaude, mais s’épaissir en refroidissant.

Etape facultative, mais que j’ai néanmoins testée : tremper une cuillère dans le liquide encore chaud et goûter… Laisser échapper une petite exclamation de surprise devant le caractère terriblement délicieux de cette pâte… Passer la cuillère au Nours, qui, alerté par mon petit cri et n’écoutant que son courage, vient voir l’objet de ma surprise et, par sens du devoir, plonge à son tour la cuillère dans la pâte…au bout d’une dizaine de trempages, lui arracher ladite cuillère des mains et le virer de la cuisine…

Verser dans un pot en verre propre, refermer et laisser refroidir avant de placer au frais.